De gauche à droite : G. Chambaud, Ph. Sautet, J. Samarut. Photo V. Cusimano/CNRS©
Gilberte Chambaud, ancienne directrice de l’Institut de Chimie du CNRS a remis les insignes de Chevalier de l’Ordre national du Mérite à Philippe Sautet, le 10 mai 2012, au cours d’une cérémonie à laquelle participaient de nombreuses personnalités du monde académique -lyonnais et parisien- et du monde industriel.
« Philippe Sautet, l’X passé à la recherche fondamentale et que nous avons eu la chance de capter ». C’est en ces termes que Jacques Samarut, dans son discours d’accueil, décrit le parcours de ce chimiste « tombé très tôt dans la catalyse » grâce à un de ses mentors et professeurs, Bernard Bigot, ancien directeur de l’ENS de Lyon. « La distinction remise aujourd’hui à Philippe tient à ses succès personnels, mais rejaillit sur toute l’École et sur nous, déclare le président de l’ENS de Lyon qui poursuit, j’en suis fier et heureux, pour lui comme pour nous ».
Avant de lui épingler la médaille au ruban bleu, Gilberte Chambaud rappelle les mérites de Philippe Sautet, médaille d’argent du CNRS et membre de l’académie des Sciences. L’actuelle professeur à l’université Marne-la-Vallée annonce, avec le sourire, qu’elle abrégera : il y a beaucoup de choses à citer quand on évoque les travaux d’une personnalité telle que Philippe Sautet. Elle évoque avec humour « leur aventure commune : notre expérience shanghaïenne ». (NDLR : il s’agit de l’accord entre l’ENS de Lyon, le CNRS, l’ECNU et Rhodia qui a abouti fin août 2010, à la création du laboratoire Eco-Efficient Products and Processes Laboratory - E2P2L). Et de conclure par ce jeu de mots : « Il fallait des catalyseurs pour à mettre en place ce projet aussi rapidement ».
A l’issue de cette chaleureuse cérémonie, Philippe Sautet prend la parole pour remercier l’auditoire et expliquer - avec passion et avec l’accent du sud-est - pourquoi il faut faire de la chimie et de l’enseignement : « Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer comment on fait de la catalyse ». Il nous montre l’usine chimique du XXIe Siècle et nous initie à la randonnée dans sa géographie moléculaire. La dernière diapositive de sa présentation est un grand merci aux 263 co-auteurs de ses publications.
Gilberte Chambaud, ancienne directrice de l’Institut de Chimie du CNRS a remis les insignes de Chevalier de l’Ordre national du Mérite à Philippe Sautet, le 10 mai 2012, au cours d’une cérémonie à laquelle participaient de nombreuses personnalités du monde académique -lyonnais et parisien- et du monde industriel.
« Philippe Sautet, l’X passé à la recherche fondamentale et que nous avons eu la chance de capter ». C’est en ces termes que Jacques Samarut, dans son discours d’accueil, décrit le parcours de ce chimiste « tombé très tôt dans la catalyse » grâce à un de ses mentors et professeurs, Bernard Bigot, ancien directeur de l’ENS de Lyon. « La distinction remise aujourd’hui à Philippe tient à ses succès personnels, mais rejaillit sur toute l’École et sur nous, déclare le président de l’ENS de Lyon qui poursuit, j’en suis fier et heureux, pour lui comme pour nous ».
Avant de lui épingler la médaille au ruban bleu, Gilberte Chambaud rappelle les mérites de Philippe Sautet, médaille d’argent du CNRS et membre de l’académie des Sciences. L’actuelle professeur à l’université Marne-la-Vallée annonce, avec le sourire, qu’elle abrégera : il y a beaucoup de choses à citer quand on évoque les travaux d’une personnalité telle que Philippe Sautet. Elle évoque avec humour « leur aventure commune : notre expérience shanghaïenne ». (NDLR : il s’agit de l’accord entre l’ENS de Lyon, le CNRS, l’ECNU et Rhodia qui a abouti fin août 2010, à la création du laboratoire Eco-Efficient Products and Processes Laboratory - E2P2L). Et de conclure par ce jeu de mots : « Il fallait des catalyseurs pour à mettre en place ce projet aussi rapidement ».
A l’issue de cette chaleureuse cérémonie, Philippe Sautet prend la parole pour remercier l’auditoire et expliquer - avec passion et avec l’accent du sud-est - pourquoi il faut faire de la chimie et de l’enseignement : « Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer comment on fait de la catalyse ». Il nous montre l’usine chimique du XXIe Siècle et nous initie à la randonnée dans sa géographie moléculaire. La dernière diapositive de sa présentation est un grand merci aux 263 co-auteurs de ses publications.
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