Remise du prix jeune chercheur de la Ville de Lyon : le sénateur-maire entouré des lauréats. Photo Guillaume Marron.
Officiellement, seule Anne-Cécile Orgerie, doctorante du LIP, a obtenu un des quatre Prix jeune chercheur de la Ville de Lyon pour sa thèse soutenue au laboratoire de l’informatique du parallélisme de l’ENS de Lyon (LIP). Mais parmi les 3 autres heureux lauréats du Prix jeune chercheur de la Ville de Lyon, 2 sont passés par l’ENS de Lyon : Isabelle Tracol-Huynh, normalienne Lyon, qui a soutenu sa thèse à Lyon 2, dans un laboratoire commun CNRS/ENS de Lyon/ Université Lyon2 : l’institut d’Asie orientale (IAO), et Benjamin Blaise, ancien étudiant de l’ENS de Lyon, doublement docteur : une première thèse en chimie soutenue à l’ENS de Lyon sous la présidence de Lyndon Emsley et Pierre Toulhoat de l’Institut des sciences analytiques et CRMN (ISA), et une deuxième thèse, en médecine à Lyon 1.
Bravo à tous nos lauréats et aux équipes d'enseignants-chercheurs qui les ont encadrés.
L'équipe ENS de Lyon entoure les lauréats. De gauche à droite, derrière : Laurent Lefèvre (LIP), Guillaume Hanrot (LIP), Yanick Ricard (VP recherche ENS Lyon), Lyndon Emsley (ISA), Germain Gillet (VP Recherche Lyon 1), Pierre Toulhoat (ISA). Devant : Anne-Cécile Orgerie, Isabelle Tracol-Huynh et Benjamin Blaise, tous issus de l'ENS de Lyon et tous lauréats du Prix jeune chercheur Ville de Lyon 2014. Photo DR
Les prix et les catégories
Santé Globale, Qualité de Vie et Société :
Benjamin Blaise. Récompensé pour ses travaux sur l’anesthésie pédiatrique néonatale, il est doublement docteur : une première thèse en chimie à l'ENS de Lyon (voir ci-contre), et une deuxième en médecine à Lyon 1.
Isabelle Tracol-Huynh. Récompensée pour ses études sur la réglementation de la prostitution et le gouvernement des corps à travers le prisme des mondes extra-européens, notamment l’empire colonial français en Asie au 20e siècle. Normalienne ENS de Lyon, elle a fait sa thèse à l'Institut d'Asie orientale (IAO)
Savoirs, Technologies et Ingénierie pour un développement durable de la société.
Anne-Cécile Orgerie. Titulaire d’un doctorat en informatique de l’ENS de Lyon, elle fut l’une des premières chercheuses à se consacrer à la thématique de l’informatique verte, en analysant la maîtrise de la consommation énergétique à l’aide de systèmes distribués (smart grids). Actuellement chargée de recherche à Rennes, à l’Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (IRISA), Anne-Cécile Orgerie cherche notamment à améliorer l’efficacité énergétique des clouds qui s’appuient sur des datacenters, de manière transparente pour les utilisateurs, c’est-à-dire sans que cela impacte la qualité de service. En savoir plus
Mots clés