Actualité de l'ENS de Lyon

Mardi 19 mars 2024, douze doctorantes et doctorants du site Lyon Saint-Étienne ont concouru lors de la finale locale de Ma Thèse en 180 secondes. Ils ont exposé leur projet de recherche, en 3 minutes, de manière claire, concise et néanmoins convaincante, devant un jury composé de chercheuses et chercheurs, de journalistes et de représentant(e)s du monde économique.

L'ENS de Lyon présente toutes ses félicitations aux candidates et candidats, pour leurs prestations dans cet exercice certes difficile, mais très enrichissant.

Un bravo particulier aux quatre doctorantes et doctorant effectuant leur thèse dans un laboratoire de l'ENS de Lyon. Avec une mention spéciale pour Iris Dadole, doctorante au CIRI, qui reçoit le 3^e prix du jury.

Iris Dadole

Iris Dadole est doctorante de l'Université Claude Bernard Lyon 1. Elle effectue sa thèse au Centre de recherche en Infectiologie (CIRI) dans l'équipe Persist (pour Persistance et dynamique des pathogènes respiratoires à la cellule unique). Son sujet de recherche porte sur les bases moléculaires de la reprise de croissance des persisters au cours de l'infection. Pour cela, elle étudie la dynamique de vie de la bactérie Legionella pneumophila dans des macrophages.

Tout cela vous reste un peu obscur ? Gageons qu'Iris Dadole saura nous éclairer et nous dévoiler ce que recèlent ses recherches en 3 minutes ! Et avant d'assister à la finale locale du concours, découvrez-en un peu plus Iris Dadole grâce à son portrait dans Lyon Capitale (13 mars 2024).

La vie passionnée de la bactérie Legionella pneumophila dans des macrophages

Kassandra Gérard

Kassandra Gérard est doctorante de l'ENS de Lyon. Elle effectue sa thèse au Laboratoire de Physique, sur un sujet à la frontière de la biologie. En effet, Kassandra Gérard étudie la physique des virus et des noyaux cellulaires. Ses recherches ont pour but d'améliorer notre compréhension des propriétés géométriques et mécaniques de l'interaction entre les virus avec un pore biologique. La question peut paraître simple : comment les virus entrent-ils dans le noyau de nos cellules ? Mais la réponse l'est moins.

Nous pouvons compter sur Kassandra Gérard, depuis toujours animée par le plaisir de raconter la science à ses proches, pour nous expliquer les résultats et attendus de ses travaux. Dans l'immédiat, découvrez son portrait par Lyon Capitale (14 mars 2024).

Comment les virus entrent-ils dans le noyau de nos cellules ?

Sylvain Begon

Sylvain Begon est doctorant de l'Université Jean Monnet Saint-Etienne au Centre Max Weber. Il s'intéresse à l'éducation à la prise de parole en public, visant à comprendre comment cette éducation peut se mettre en place dans un univers scolaire dominé par l’écriture. Une recherche ethnographique étudiant les caractéristiques et les potentialités de cette éducation pour les jeunes et le système scolaire.

Rendez-vous lors de la finale locale pour en apprendre plus sur ce sujet, grâce à celui qui cette année, a créé son propre concours d'oralité. Découvrez le parcours de Sylvain Begon dans Lyon Capitale (17 mars 2024).

Ethnographie de la prise de parole en public

Xanthe Adams-Ward

Xanthe Adams-Ward est doctorante de l'Université Claude Bernard Lyon 1. Elle effectue sa thèse au Centre de recherche en Infectiologie (CIRI) dans l'équipe LegioPath (pour Legionella Pathogenesis). Ses recherches portent sur les mécanismes impliqués dans la persistance aux antibiotiques chez la bactérie Legionella pneumophila. Un sujet qui mêle recherche fondamentale et appliquée et qui vise aussi à découvrir s'il existe un lien entre cette persistance et les légionelloses récurrentes.

Un sujet que Xanthe Adams-Ward se met au défi de nous expliquer en 3 minutes. Découvrez le parcours international de cette passionnée de biologie dans Lyon Capitale (18 mars 2024).

Les légionelloses et leur persistance aux antibiotiques