Événement dans le cadre de la deuxième édition de la semaine « À l’École de l’Anthropocène »
L'espace urbain abrite de multiples formes de vie. En dépendance, en interdépendance, parfois dans un rapport de prédation ou de rejet, parfois dans une relation d'amour, de la symbiose à la défiance, toutes ces existences entretiennent des relations complexes.
Vivre ensemble, c'est penser la santé comme une unité. Et par là même, élargir le “nous” à bien plus que l'humanité. De la bactérie à l'animal, du végétal à l'homme, la relation de soin nous questionne. Quelle juste posture adopter lorsqu'il y a de la vie, lorsque nous entretenons des relations ambivalentes avec elle dans un espace commun ? Comment finalement penser notre écologie, donc notre santé globale en ville ?
Tentons de comprendre ensemble ce que chacun entend par santé commune et comment il l'appréhende dans son quotidien, dans sa vie citoyenne et professionnelle, afin de saisir ce qui nous empêche de penser global au niveau local. Peut-être pour commencer à co-construire un nouveau rapport au monde urbain ? Car, profitable sous bien des aspects, la ville, ses compétences et ses techniques, telles qu’elles ont été pensées, se montrent aussi capable d’affecter “notre” santé.
Chaque individu et chaque cœur de métier étant acteur de cette santé, nous conduirons une réflexion sur les changements de représentations et de pratiques nécessaires à une écologie urbaine durable.
Gratuit
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