Lyon Capitale - 13 décembre 2014
Des paléogénéticiens, des biologistes et des géologues du CNRS, de l’ENS de Lyon et de l’université Claude Bernard Lyon 1 ont élaboré un nouvel outil permettant la détection de séquences d’ADN trop dégradées pour être étudiées via les méthodes biochimiques classiques.