Communiqué de presse
Date de publication
18/09/2025
Communiqué de presse de l’ESRF – le Synchrotron européen de Grenoble –, le CNRS, l’ENS de Lyon et l’Institut de recherche marine de Norvège, en date du 18 septembre 2025. Une étude menée par l’ESRF – le Synchrotron européen de Grenoble –, le CNRS, l’ENS de Lyon et l’Institut de recherche marine de Norvège révèle comment le thon rouge d’Atlantique transforme la forme toxique du mercure en formes moins nocives. Le muscle, la partie comestible du thon, contient ainsi non seulement du méthylmercure, mais aussi du mercure lié à des composés stables et non toxiques, selon l’étude publiée dans la revue Environmental Science & Technology.