L’objectif théorique du séminaire est de problématiser la catégorie polémique de « modernité » à partir des débats traversant la philosophie, la littérature, l’art et les sciences, sans limites temporelles ni géographiques. Ouvert aux étudiantes et étudiants, doctorantes et doctorants, chercheuses et chercheurs confirmés, quelle que soit leur discipline d’origine, le séminaire « Problèmes de la modernité » se veut être un lieu de formation et d’échanges à la fois libres et informés.
CONTENU DES SEANCES
14 janvier Guillaume Coissard (FNRS, Université Libre de Bruxelles) : Matérialisme et altermodernité
28 janvier Peter Anstey (Département de philosophie, Université de Sydney) : Early modern philosophy of experiment
4 février Mitia Rioux-Beaulne (Département de philosophie, Université d’Ottawa) : Passer aux Lumières, passer à la modernité : nommer et penser le mouvement historique des idées
18 février Lena Magnone (Collegium de Lyon, Université d’Oldenburg) : Modernité, modernisme(s), mouvements modernistes dans la périodisation littéraire
1 avril Mouhamadoul-Khaly Wélé (UMR 5317-IHRIM-ERC NOTCOM) : L’orientalisme des marges et sa réception en France aux XVIIIe et XIXe siècles
et
Carlotta Santini (UMR 8547 Pays Germaniques / Transferts culturels, CNRS) : Aufklärung und Revolution. Nietzsche, Burckhardt et la critique de la modernité
15 avril Tristan Dagron (UMR 5317-IHRIM) :Humanisme moderne à l’époque de la décolonisation : la tâche de l’ethnologie selon De martino
16 avril Symposium : Des modernités de la psychanalyse : une approche globale