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Actualité de l'ENS de Lyon

IUF 2018 : 3 membres juniors à l'ENS de Lyon

IUF
Prix et distinction
 

Trois nouveaux membres de l'Institut Universitaire de France pour l'ENS de Lyon : Sylvain Joubaud, physicien au laboratoire de Physique de l'ENS de Lyon, Marie Sémon, biologiste au LBMC, Damien Stehlé, informaticien du LIP.

Les nouveaux membres juniors de l'IUF

Photo de Sylvain JoubaudSylvain Joubaud

Les travaux de Sylvain Joubaud ont porté, dans un premier temps, sur l'étude expérimentale de phénomènes non linéaires lors de la propagation d'ondes internes. Dans un second temps, il a développé au sein de son équipe un système expérimental révélant les premières signatures de turbulence d'ondes internes.

Plus récemment, Sylvain Joubaud a initié en parallèle une activité de recherche sur la dynamique d'écoulement multiphasique en s'intéressant à la dynamique et au mélange engendrés lors de la remontée de bulles d'air ou de panaches dans une suspension dense.

Au cours des dernières années, il s’est également fortement impliqué au niveau du département de physique de l'ENS de Lyon : coordination des stages puis responsable du master FEADéP Physique.

Photo de MArie SémonMarie Sémon

Ses thématiques de recherche, typiques de l'évolution moléculaire, portaient sur l'organisation des génomes animaux, et leur réorganisation après une duplication. Recrutée à l'ENS de Lyon en 2007, elle a décidé de combiner cette approche avec une vision fonctionnelle de l'expression des génomes.

Marie Sémon est également très impliquée dans la dynamique actuelle du département de biologie (animation du pôle bien-être des étudiants, enseignements et responsabilités d’UE en bioinformatique, génomique, évolution, evo-devo, génomique comparée, coordination des stages), la diffusion des savoirs pour tous publics et la lutte contre les préjugés de genre dès le plus jeune age (par exemple, opération "dans la blouse d'un chercheur")

Photo de Damien StehléDamien Stehlé

Les  recherches de Damien Stehlé portent sur l’algorithmique des réseaux euclidiens et ses applications, notamment en cryptographie. Il étudie des algorithmes prenant en entrée une représentation arbitraire d’un réseau et qui renvoient des vecteurs courts de ce réseau. Il s'intéresse également à  la complexité intrinsèque des problèmes algorithmiques portant sur les réseaux, à la fois dans le cas le pire et dans le cas moyen.

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